Nous remercions les électeurs qui ont voté au premier tour pour un des candidats de Lutte ouvrière. Ils ont exprimé la conscience et la fierté d’appartenir au monde du travail et ils ont affirmé les intérêts des travailleurs. Ils ont eu raison.
Ce courant de plus de 350 000 personnes est encore modeste. Et en l’absence d’un véritable parti ouvrier, le monde du travail se perd dans la recherche d’un sauveur suprême qui n’existe pas.