« Vous êtes contents d’être en France ! Parce que si ce n’était pas la France, vous seriez 10 000 fois plus dans la merde ! » : voilà la réponse pleine de mépris de Macron aux habitants de Mayotte qui réclamaient de l’eau, des vivres et des secours après le cyclone Chido qui a dévasté l’île.

23/12/2024

Sur proposition de la Fédération Mahoraise du BTP et dans le cadre de la future loi d'urgence pour la reconstruction de Mayotte, les patrons de Mayotte ont déjà mis sur la table leurs conditions : Proposition de dérogation temporaire au code du travail pour une reconstruction rapide de Mayotte : Augmentation de l'amplitude journalière de travail à 14 heures Abaissement de la durée du repos quotidien à 10 heures et repos hebdomadaire à 24 heures Autorisation du travail du dimanche si au moins un jour de repos dans la semaine  Instauration de la modulation du temps de travail Embauche de travailleurs hors Mayotte pour aller plus vite avec dérogation des conditions de durée de contrat  En contrepartie pour les travailleurs paiement des heures supplémentaires avec majoration de 50% dès la première heure avec exonération totale de charges  Et instauration du SMIC de droit commun immédiatement.

23/12/2024

À Salazie, cirque réputé pour ses nombreuses rivières et chutes d'eau, la population est de plus en plus soumise au régime sec.

22/12/2024

Saint Benoît, le 21 decembre 2024Mesdames, Messieurs,Je vous transmets au nom de mes camarades notre profonde solidarité avec les victimes de lacatastrophe climatique et sociale qui frappe Mayotte. Les maux dont souffre la société mahoraise : insécurité, vols, encombrement des établissementsde santé et scolaires, manque de logements et d’infrastructures, sont dus à des investissementsscandaleusement insuffisants de l'État français depuis des décennies.

22/12/2024

Confronté à la colère de la population privée de tout : d'abris, d'eau, de nourriture, d'électricité et de moyens de communication Macron a osé rétorquer : « C’est pas moi le cyclone ! » Et d’enchaîner sur de vagues promesses de construction de logements, d'écoles, d'adduction d'eau potable et de courant électrique d'ici quelques années. Ce que l'État français n'a pas été fichu de réaliser pendant toutes ces dernières décennies ! Et puis, comme Retailleau son ministre de l'intérieur qui l'a précédé de quelques jours, il se défausse des responsabilités écrasantes de l'État français en désignant l’immigration comme cause de tous les maux.

20/12/2024

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19/12/2024