Une société grosse d’une révolution

"Les stocks sont vides" disait le Secours populaire l’année dernière. « Les stocks sont au plus bas » alerte-t-il cette année. L’association sur Clermont-Ferrand vient en aide à 20 000 personnes, et près de 200 familles s’y rajoutent chaque mois.

Mais même avoir un emploi n’est pas une protection contre la pauvreté. Près d’une personne sur trois déclare avoir du mal à faire trois repas par jour. En fait, la misère continue de se répandre dans les milieux populaires.

Cela juge cette société où face à l’enrichissement des capitalistes, les salaires, les pensions ou les aides sociales sont de moins en moins suffisants à assurer le minimum vital.

En 1789, la famine fut l’un des déclencheurs de la révolution…