VALÉO : NON AUX SUPPRESSIONS D’EMPLOIS !

Plusieurs dizaines de travailleurs ont fait grève le mardi 28 janvier contre la suppression de 97 emplois sur un effectif de 338 salariés, auxquels il faut ajouter une dizaine de départs non remplacés. Ils entendaient demander le gel de ce plan dit « de sauvegarde de l’emploi » et obtenir la réduction du nombre de postes supprimés.

L’usine de Reims comptait encore, il y a une vingtaine d’années, plus de 1 100 salariés auxquels il fallait ajouter plusieurs centaines d’intérimaires.

Les prévisions de la direction sont tout sauf engageantes pour l’avenir puisqu’elle annonce un « sureffectif » de 64 personnes de 2026 à 2028.

Ce n’est pas qu’à Reims que Valéo taille dans ses effectifs puisque ce sont près de 1 200 travailleurs qui sont touchés à travers le pays.

Ici comme ailleurs, face à la crise le patronat prend les devants pour préserver ces profits que le PDG annonce même en hausse pour 2025.

Le groupe Valéo dont l’actionnaire principal est Dassault a les moyens de maintenir les postes. Et, si l’activité baisse que l’on répartisse le travail entre tous, au lieu de pousser les travailleurs à la rue.

VALÉO : NON AUX SUPPRESSIONS D’EMPLOIS !

Plusieurs dizaines de travailleurs ont fait grève le mardi 28 janvier contre la suppression de 97 emplois sur un effectif de 338 salariés, auxquels il faut ajouter une dizaine de départs non remplacés. Ils entendaient demander le gel de ce plan dit « de sauvegarde de l’emploi » et obtenir la réduction du nombre de postes supprimés.

L’usine de Reims comptait encore, il y a une vingtaine d’années, plus de 1 100 salariés auxquels il fallait ajouter plusieurs centaines d’intérimaires.

Les prévisions de la direction sont tout sauf engageantes pour l’avenir puisqu’elle annonce un « sureffectif » de 64 personnes de 2026 à 2028.

Ce n’est pas qu’à Reims que Valéo taille dans ses effectifs puisque ce sont près de 1 200 travailleurs qui sont touchés à travers le pays.

Ici comme ailleurs, face à la crise le patronat prend les devants pour préserver ces profits que le PDG annonce même en hausse pour 2025.

Le groupe Valéo dont l’actionnaire principal est Dassault a les moyens de maintenir les postes. Et, si l’activité baisse que l’on répartisse le travail entre tous, au lieu de pousser les travailleurs à la rue.