Forêt amazonienne : Le dépérissement des arbres08/10/20242024Brèves/medias/breve/images/2024/10/CNRS_20140001_2539_44667.jpg.420x236_q85_box-0%2C23%2C440%2C270_crop_detail.jpg

Brève

Forêt amazonienne

Le dépérissement des arbres

Illustration - Le dépérissement des arbres

L'ONF tire la sonnette d'alarme sur un phénomène récemment observé en Guyane, le dépérissement soudain de pas moins de 40 000 hectares de forêt primaire.

Parmi les premières hypothèses, un stress des arbres en lien avec des causes climatiques.

Jérémy Commins, chercheur à l’ONF observe « les saisons des pluies très marquées que l’on a pu observer en 2022 avec le phénomène la Niña ou des saisons sèches très dures et des fortes températures ».

Hélène Richard, botaniste à l’Office Nationale des Forêts en Guyane, fait remarquer que « Cela n’est pas lié à un coup de vent, les arbres meurent d’un coup sur pied, ils restent debout. Ils perdent leurs feuilles et meurent, ce sont souvent des gros arbres ».

Et pour Olivier Brunaux, directeur adjoint de l’ONF Guyane : « ... On voit qu’à 30 cm l’eau pénètre difficilement, donc, quand il y a des phénomènes importants d’apports d’eau, elle part plutôt latéralement qu’en profondeur pour approvisionner en eau les arbres ».

Tout cela est significatif du réchauffement climatique, dont les capitalistes sont responsables. Ils tuent notre environnement, il est temps de changer d'air et de les renverser.

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