Les discours sur l’écologie et la réalité

Une Journée de grève pour la branche éolienne terrestre de General Electric est prévue le jeudi 21 Septembre, alors que General Electric entreprend une deuxième vague de licenciements économiques en six mois,

C’est le 2e plan de licenciements engagé par le groupe General Electric dans l’entité éolien terrestre. La moitié des effectifs français est concernée soit une soixantaine de personnes. Les sites de Belfort et Autechaux sont concernés.

Il existe dse bureaux à Boulogne-Billancourt (Hauts-de-Seine), Belfort (Territoire de Belfort) et Nantes (Loire-Atlantique) et des bases de maintenance de parcs éoliens à Autechaux (Doubs), Lempdes-sur-Allagnon (Haute-Loire), Ménétréols-sous-Vatan (Indre), Fruges (Pas-de-Calais), Questembert (Morbihan), Vertus (Marne), Revel (Haute-Garonne), Ramonville-Saint-Agne (Haute-Garonne).

Ces éoliennes terrestres ont bénéficiées de nombreuses subventions des collectivités locales ou de l’Etat Français au nom de le transition écologique.

Un premier plan de licenciements été finalisé au mois de mars un autre a été lancé début juillet. La direction évoque une suppression maximale de 50 postes.

Les données communiquées évoquent 62 suppressions sur 125 salariés en France. En termes d’effectifs, 380 postes sont supprimés en Europe, sur 2 300.

L’Espagne et l’Allemagne qui sont les plus touchés numériquement, avec respectivement 136 et 132 postes supprimés.

Une opération essentiellement boursière qui permettra aux actionnaires d’augmenter leur part.