Élections municipales : Des listes Lutte ouvrière - Le camp des travailleurs25/11/20252025Brèves/medias/breve/images/2025/11/P4-2_Lors_de_la_campagne_pour_les_municipales_de_2020_%C3%A0_Alfortville_C_LO.jpg.1200x675_q85_box-00799450_crop_detail.jpg.420x236_q85_box-0%2C0%2C799%2C449_crop_detail.jpg

Brève

Élections municipales

Des listes Lutte ouvrière - Le camp des travailleurs

Illustration - Des listes Lutte ouvrière - Le camp des travailleurs

Pendant que la vie politique, ou plutôt politicienne, est obnubilée par le cirque parlementaire autour du budget, les militants de Lutte ouvrière agissent pour que des listes « Lutte ouvrière – le camp des travailleurs » soient présentes aux élections municipales des 15 et 22 mars 2026 dans un maximum de communes populaires.

Les maires, en particulier dans les petites communes, sont souvent moins détestés que les autres élus car plus proches de leurs administrés. Mais, si dévoués soient-ils, ils n’ont que des budgets dérisoires pour agir et presque aucun pouvoir. Les budgets des municipalités sont de plus en plus réduits tandis que les besoins de la population ne cessent d’augmenter.

Si les élections municipales ne permettent pas plus que d’autres scrutins de changer la vie des classes populaires, elles donnent l’occasion de s’exprimer. Un bulletin de vote Lutte ouvrière - Le camp des travailleurs permettra de dire qu’il y en a assez de travailler de plus en plus dur pour des salaires trop faibles alors que les prix ne cessent de monter ; d’exprimer son opposition à l’évolution réactionnaire de la société, aux divisions semées et entretenues entre travailleurs, entre exploités, selon leurs origines ou leurs statuts ou encore à la marche à la guerre ; qu’il n’y a aucune confiance à accorder aux partis qui se succèdent au pouvoir et se prosternent devant les riches et les capitalistes ; que les travailleurs sont les mieux placés pour diriger eux-mêmes la société.

Parce qu’elles imposent de rassembler plusieurs dizaines de candidats habitant sur la même commune, sous réserve qu’ils soient dûment inscrits sur les listes électorales, ces élections permettent aussi de constituer un réseau de femmes et d’hommes qui partagent cette conscience de classe élémentaire et qui sont fiers d’être des travailleurs, indispensables au fonctionnement de la société dont ils sont la force vive.

Convaincre sa voisine aide-soignante ou femme de ménage, son ami ouvrier ou chauffeur de bus, son fils cariste ou sa belle-sœur secrétaire à la retraite de représenter le camp des travailleurs en se mettant sur la liste Lutte ouvrière de sa ville, une liste qui affiche la faucille et le marteau, symbole du communisme, c’est contribuer à ce que le drapeau de la lutte de classe soit levé et que la résignation soit combattue. C’est préparer l’avenir en constituant ce réseau pouvant aider à construire le parti, communiste, internationaliste, révolutionnaire, qui manque à la classe des travailleurs.

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