Dans le monde
Carrefour : ses salariés n’ont pas « droit au meilleur »
Des journées de travail de seize heures, le seul jour de repos hebdomadaire souvent annulé, les heures supplémentaires non payées, l’interdiction de se syndiquer, le passeport confisqué vous mettant à la merci de la police : c’est le quotidien de travailleurs originaires d’Inde, du Népal, ou du Pakistan, employés par Carrefour en Arabie saoudite.
Pour Carrefour, ce n’est pas seulement l’esclavage salarié qui rapporte, c’est l’esclavage tout court.