Il y aurait jusqu’à 46 pesticides différents dans un seul bouquet de fleurs coupées. Une enfant est même morte d’une leucémie suite à l’exposition de sa mère fleuriste. Les dangers pour les salariés du secteur comme pour les consommateurs paraissent avérés. Cela n’empêche pas le président des artisans fleuristes d’affirmer : « On n’est pas sur un métier dangereux ».

En voilà un qui a plus à cœur les profits des patrons du secteur que la santé des travailleurs !