La chaleur, les machines qui chauffent et les cadences infernales, c’est insupportable. À certains postes, c’est intenable. Quelques ventilateurs et de l’eau (et parfois, il faut se faire remplacer pour y accéder !), ça ne suffit pas !
D’ailleurs, une camarade a eu un gros malaise, la semaine dernière, et la direction s’en moque : rien n’a changé.

Alors, prenons les devants : il faut bosser moins vite et s’arrêter souvent. Si les sbires de la direction font pression, on sait comment les calmer en s’y mettant tous, comme il y a trois semaines.