Selon des informations parues dans la presse, des compagnies aériennes ont cherché à profiter des conséquences du séisme, du tsunami et du risque de catastrophe nucléaire au Japon, pour gonfler leurs tarifs.

Devant l'augmentation du nombre des gens qui cherchaient à quitter rapidement le pays, généralement des expatriés européens et des membres de leurs familles, les systèmes de gestion des compagnies, chargés d'adapter les tarifs à la demande, ont poussé les prix des billets à la hausse. Ainsi, même en classe dite économique, des Tokyo-Paris ont atteint 2 000, 3 000 euros et parfois bien plus (contre environ 1 500 euros habituellement pour un aller-retour).

C'est si indécent qu'Air France a rapidement dû décider de baisser ses prix (en fait, de revenir à des allers simples autour de 700 euros)... en présentant cela comme un geste commercial.

Après le racket, la publicité à bon compte ?