Dans 34 villes, des candidats de Lutte Ouvrière sont présents sur des listes d'union pour le second tour des municipales. Il s'agit soit de listes qui étaient déjà présentes au 1er tour, soit de listes issues de la fusion de deux ou plusieurs listes de gauche ayant obtenu plus de 5 % des voix, en excluant évidemment toute fusion avec des listes de droite ou du Modem. Il s'agit des villes suivantes :

Argenteuil (Val-d'Oise)

Aubervilliers (Seine-Saint-Denis)

Bagnolet (Seine-Saint-Denis)

Belfort (Territoire-de-Belfort)

Clichy-la-Garenne (Hauts-de-Seine)

Clermont-Ferrand (Puy-de-Dôme)

Corbeil-Essonnes (Essonne)

Creil (Oise)

Fleury-les-Aubrais (Loiret)

Fourmies (Nord)

Île-Saint-Denis (Seine-Saint-Denis)

La Courneuve (Seine-Saint-Denis)

Le Blanc-Mesnil (Seine-Saint-Denis)

Lens (Pas-de-Calais)

Les Ulis (Essonne)

Limeil-Brévannes (Val-de-Marne)

Marsannay-la-Côte (Côte-d'Or)

Marseille-7e secteur (Bouches-du-Rhône)

Nevers (Nièvre)

Nogent-sur-Oise (Oise)

Noisy-le-Sec (Seine-Saint-Denis)

Romainville (Seine-Saint-Denis)

Saint-Denis (Seine-Saint-Denis)

Saint-Fons (Rhône)

Saint-Jean-de-Moirans (Isère)

Saint-Ouen (Seine-Saint-Denis)

Sainte-Eulalie (Gironde)

Sin-le-Noble (Nord)

Saint-Chamond (Loire)

Vandoeuvre-lès-Nancy (Meurthe-et-Moselle)

Villejuif (Val-de-Marne)

Villeneuve d'Ascq (Nord)

Villepinte (Seine-Saint-Denis)