Si l'OPAC de Saint-Chamond est particulièrement conciliant avec le groupe Eiffage, son directeur général ne se gêne pas pour envoyer des lettres " musclées " aux locataires.

Un habitant dont la mère a reçu un tel courrier témoigne :

" Ma mère (88 ans) a reçu un courrier de mise en demeure pour remettre en état sa cave sous un délai de un mois sinon il lui sera facturé plus de 350 euros (HT).

Ce courrier l'a tellement perturbée qu'elle a dû être hospitalisée pour un glaucome aigu, consécutif à son état de stress dû à une forte contrariété.

J'ai protesté par lettre recommandée sur cette attitude scandaleuse, qui l'était d'autant plus que la cave visée n'était pas la bonne et donc que ma mère n'avait rien à voir dans cette affaire.

On attend encore les excuses écrites du directeur général de l'OPAC, et pourquoi pas le remboursement des frais engagés... mais c'est peut-être trop demander à ces gens-là ! "