Le 6 juin, dans une maternelle du Mans, des policiers sont venus chercher deux enfants kurdes de trois ans et demi et six ans dont la mère était expulsée. Le directeur de l'école, soutenu par sa hiérarchie, a remis les enfants aux policiers.

C'est le sort qui guette plusieurs milliers d'enfants immigrés scolarisés, menacés d'expulsion en cette fin d'année scolaire.

Heureusement, on n'accepte pas partout d'appliquer une loi scélérate, et la solidarité s'organise.