Taguer le château de De Robien, ça coûte de la prison01/02/20022002Journal/medias/journalnumero/images/2002/02/une-1749.gif.445x577_q85_box-0%2C13%2C166%2C228_crop_detail.jpg

Leur société

Taguer le château de De Robien, ça coûte de la prison

Des tags avaient fleuri une nuit sur le mur d'enceinte de la propriété familiale du maire d'Amiens, Gilles De Robien, à Cocquerel dans la Somme. Le quotidien Le Courrier Picard rapporte que les auteurs ont été condamnés à la prison ferme : 2 à 12 mois de prison.

Les juges ont la main lourde lorsque l'on s'attaque aux biens des riches et puissants. Mais le maire sera-t-il condamné avec la même sévérité dans l'affaire de passation de marché préférentiel et de surfacturation pour les parkings de la faculté de Saint-Leu (l'entreprise Quille, filiale du groupe Bouygues, avait rajouté 16 millions de francs à la facture initiale, soit 30 % de plus que la somme prévue)?

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